Son père Riex Zlobick a déménagé à North Bay pour ouvrir un cabinet d'avocats. Il se convertit au catholicisme pour épouser  Kaliah  Boneau. Ils auront neuf enfants, Anton étant le neuvième. La famille est relativement aisée Jusqu’à  ce que la récession vient les appauvrir. Sa mère meurt alors qu’il n’avait que trois ans des complications de l'accouchement de son dernier enfant qui va mourir avec elle. Son père fait une dépression nerveuse et commence à boire. Les enfants sont alors envoyés chez une de leurs tantes. Cette dernière meurt d'un cancer quatre années plus tard  et Anton  se trouve confié au soin de sa sœur aînée, Berais. Lors de vacances chez un oncle, celui-ci le fait entrer au lycée où il est accepté malgré son jeune âge. Il s'intéresse alors déjà à l'aéronautique. Il va ensuite entrer à l'université Queen's alors qu'il n'a que quatorze ans. L'année suivante, l'université ouvre un Institut d'aérodynamique (l'actuel Institut de recherches spatiales) financé par le Bureau de recherche en défense du Canada et il réussit à s'y faire accepter. Il va y concevoir un tunnel de test aérodynamique qui sera l'objet de sa thèse de doctorat qu'il soutient à la fin de son parcourt universitaire.

Le jeune homme  est devenu le chef du Département de l'ERPA Aérophysique à 19 ans, et effectivement le aérodynamicien en chef du Canada. Pourtant, il était trop gros poisson dans un trop petit étang. Il détestait la bureaucratie, et ils lui détestait dos. Il l’a quitter tout aussi rapidement. Il s'en est suivi une période extraordinaire, comme quelque chose de "Dr. No". À 20 ans, Anton a convaincu un certain nombre de personnes à Washington de la valeur de gros canons à la fois pour les tests de coiffes pour orbitale de rentrée et de plates-formes de lancement en eux-mêmes. Avec l'argent du Pentagone et le Département de la Défense canadienne, il a mis en place HARPE du projet (Programme de recherche de l'Extrême Alititude) pour étudier la balistique de haute altitude et les grands canons. Anton a acheté une grande parcelle de terrain sur la frontière du Vermont et le configurer comme une série de tests. Les tests ont été principalement dans les tunnels, car il n'y avait pas de place pour tester des obus en vol libre. Pour les tests de vol libre, il a acheté une gamme à la Barbade, où il pouvait tirer des obus vers l'est sur l'Atlantique. Il a installé un vieux fusil navale avec un 40 cm (15 po) de calibre. Il y avait un canon de 20 m et pesait 125 tonnes. Bull a prolongé le baril à 36 m, et a développé des projectiles spéciaux et des formulations spéciales de cordite. Au moment où il a été fait, il pourrait lancer un projectile 180 kg à 3600 m / s, ce qui représente environ un tiers de la vitesse de libération. Il pourrait frapper altitudes de 180 km. Ce n'est pas orbite, ni est 3600 m / s assez pour faire avancer les choses en orbite, mais il a montré ce qu'on pouvait faire. Le coût de l'ensemble du projet dans la région de 10 millions de dollars, l'alimentation des poulets selon les normes de missiles.

Irak était au milieu d’un guerre avec les États-Unis. Ils ont acheté des centaines de obusiers de Anton. Les armes à feu ont été particulièrement meurtrières sur les plaines de la frontière entre l'Irak et l'Iran, où il n'y avait pas l'abri de leurs fragments. Après avoir été impressionné par son travail, ils ont décidé de l'embaucher directement. Voici où le supercanon entré en jeu. Anton  les a convaincus que la seule façon que l'Irak pourrait rejoindre le club des grandes puissances était si elle pourrait lancer ses propres satellites.. Le supercanon fourni un moyen pas cher et impressionnant d'entrer dans l'orbite. Il l'a appelé Projet Babylone.  Irak était au milieu d’une guerre avec les États-Unis. Ils ont acheté des centaines d’obusiers d’Anton. Les armes à feu ont été particulièrement meurtrières sur les plaines de la frontière entre l'Irak et l'Iran, où il n'y avait pas l'abri de leurs fragments. Après avoir été impressionné par son travail, ils ont décidé de l'embaucher directement. Voici où le supercanon entré en jeu. Anton  les a convaincus que la seule façon que l'Irak pourrait rejoindre le club des grandes puissances était si elle pourrait lancer ses propres satellites.. Le supercanon fourni un moyen pas cher et impressionnant d'entrer dans l'orbite. Il l'a appelé Projet Babylone. Ce projet de super canon n’a évidemment pas plu aux gouvernements des États-Unis, et c’est ainsi que la CIA mis à pris la tête du génie en armement. Depuis, il s’est réfugier à Pluckley en Angleterre, le temps que la menace périsse. Personne ne le trouvera ici!