Je te brise, je te casse, je te noie. Je suis l'anarchie et le mépris, la violence, la vésanie. Je te laisse t'enivrer pour mieux te dévorer. Tu es belle, tu danses, tu frimes, elle est jolie la mélodie qui rythme mes désires. Je te veux, je te prends et je te jette, répètes ? Tu es beau, ton portrait me fascine, allonges toi ici histoire que je te dessine. Courbes masculines, féminines elles finissent toutes dans mon lit. Elle est bonne ma conscience, fin' elle l'était, je crois qu'elle est perdue quelque part entre mon cortex frontal et les limbes de mes idées encrassées par la cendre que je fume. Je te tue conscience, je te torture, te mets à l'épreuve à chaque fois que les liquides insidieux coulent dans ma gorge, que mes mains écartent les cuisses des vierges, que je me délecte de ce que je sème, un doucereux chaos. Je vous berce au couteau vous autres, les gens tout propres sur eux qui se profilent être mieux que le commun des mortels avec leur mallette, leur chaine au cou et leur dépression maquillée derrière l'achat d'un nouveau costume flambant neuf ou d'une nouvelle amante au goût d'interdit. Moi je ne mens pas, je suis ce que je suis mais surtout ce que je veux. Tu m'aimes, tu m'aimes pas, rien à foutre, tu m'empêcheras pas de vivre et encore moins de me détourner de mon chemin. Je te flingue de ta misère si t'oses faire barrage à ma luxure, t'as compris ? Le temps s'écoule, il s'émousse sous ma lame d'intrépide, je vis trop vite, je crie trop fort, je vous bouffe de mon existence dévorante. Je suis vrai, je te balance ma vérité acide sans ambages, je ne me cache pas derrière des phrases compliquées pour m'exprimer, plus c'est clair, plus tu comprendras qu'il faut me foutre la paix. Attention ! Je t'aime, je te possède, t'es à moi maintenant la sirène, tu m'appartiens le preux chevalier. Amours, amis, ennemis, je vous vénère tous à ma façon, je vous mets sur un piédestal. Choisis ton camp gamin, j'aime te voir te tortiller pour échapper à mon filet. J'oublie les politesses, j'écrase les convenances, les coudes sur la table c'est tellement plus chic que ton allure de coincé, t'es gentil ? C'est bien, tu m'intéresses autant qu'un devoir de mathématique. J'aime découvrir, tester, apprendre, je veux que mon épitaphe soit brève mais glorieuse, le genre qui reste dans le crâne, qui fait sourire, qu'on dise : « Celui-là, c'était quelqu'un » Je ne suis pas fait pour vivre dans l'ombre, coucou c'est moi ! Je tape dans ta chaise pour te réclamer de l'attention, je te bouscule, toi, tu vas te souvenir de moi. Je suis le vent, la pluie, la tempête, en quoi puis-je t'être utile ? Une inondation dans ton coeur, un ouragan dans tes peurs, un coup de foudre dans tes veines ? Je t'électrise, je te domine, la terre c'est mon royaume, t'es le sujet docile que je manipule avec scrupule, ouais, je reste humain, les monstres ça se cachent sous les lits ou dans les armoires, moi je suis fais pour t'éblouir sur la scène de ta vie. Je suis un passionné, faut pas que je tombe amoureux de toi, t'aimerais pas, je suis un poison, violent et bruyant. J'aime que tu restes à ta place, t'avoir sous mon contrôle, je t'aime, je t'aime, je t'aime, ne pars pas ! Je te cours après, je t'asphyxie de ma romance de garçon, aimons-nous, tuons-nous comme dans une pièce de Shakespeare ! Halte là, toi qui n'est que de passage ! Tu n'es pas roi dans mon monde, personne ne l'est pas même moi. Saches que je suis le bouffon qui t'étire les lèvres avec humeur, j'ai la répartie facile, le sarcasme en bouclier et la facétie d'un gosse déluré. Eh toi, l'étranger ! M'aimes-tu ? J'ai menti… Je ne suis pas imperméable aux moqueries, à l'ignorance à mon égard. Je veux de l'amour en grosse coupure, je veux t'avoir dans ma partie, défis moi si tu l'oses ou si tu préfères, rejoins ma team, je te promets que d'un cas comme dans l'autre, on sera éternel, au pire, on goûtera à l'enfer.

histoire en un minimum de 30 lignes, vous pouvez rédiger votre fiche comme bon vous semble, c'est tout à vous . Itaque tum Scaevola cum in eam ipsam mentionem incidisset, exposuit nobis sermonem Laeli de amicitia habitum ab illo secum et cum altero genero, C. Fannio Marci filio, paucis diebus post mortem Africani. Eius disputationis sententias memoriae mandavi, quas hoc libro exposui arbitratu meo; quasi enim ipsos induxi loquentes, ne 'inquam' Quam ob rem vita quidem talis fuit vel fortuna vel gloria, ut nihil posset accedere, moriendi autem sensum celeritas paucis diebus post. Itaque tum Scaevola cum in eam ipsam mentionem incidisset, exposuit nobis sermonem Laeli de amicitia habitum ab illo secum et cum altero genero, C. Fannio Marci filio, paucis diebus post mortem Africani. Eius disputationis sententias memoriae mandavi, quas hoc libro exposui arbitratu meo; quasi enim ipsos induxi loquentes, ne 'inquam' Quam ob rem vita quidem talis fuit vel fortuna vel gloria, ut nihil posset accedere, moriendi autem sensum celeritas paucis diebus post. Itaque tum Scaevola cum in eam ipsam mentionem incidisset, exposuit nobis sermonem Laeli de amicitia habitum ab illo secum et cum altero genero, C. Fannio Marci filio, paucis diebus post mortem Africani. Eius disputationis sententias memoriae mandavi, quas hoc libro exposui arbitratu meo; quasi enim ipsos induxi loquentes, ne 'inquam' Quam ob rem vita quidem talis fuit vel fortuna vel gloria, ut nihil posset accedere, moriendi autem sensum celeritas paucis diebus post. Itaque tum Scaevola cum in eam ipsam mentionem incidisset, exposuit nobis sermonem Laeli de amicitia habitum ab illo secum et cum altero genero, C. Fannio Marci filio, paucis diebus post mortem Africani. Eius disputationis sententias memoriae mandavi, quas hoc libro exposui arbitratu meo; quasi enim ipsos induxi loquentes, ne 'inquam' Quam ob rem vita quidem talis fuit vel fortuna vel gloria, ut nihil posset accedere, moriendi autem sensum celeritas paucis diebus post.